Certes, je l’entends bien volontiers, pour évaluer une dynamique, encore faut-il connaître le nombre de personnes concernées.
Monsieur le rapporteur général, puisque je n’ai pas en ma possession les éléments que vous me demandez – j’en suis fort confus –, je vous propose que nous en rediscutions en seconde lecture, chiffrage à l’appui.