Notre compromis doit préserver au maximum la capacité d'autofinancement. Tout ce que propose le Gouvernement - prêts de haut de bilan, rééchelonnement - n'a de sens que si l'organisme peut apporter sa part d'autofinancement.
Des opérations importantes de rénovation sont promises depuis longtemps, car elles étaient financées dans le système antérieur. Demain, elles seront remises en cause, car certains organismes n'auront plus les 15 % à 20 % d'autofinancement nécessaires.