Je comprends parfaitement que l’on fasse le choix de l’efficacité. Pour autant, je m’inquiète de savoir si les juges cherchent vraiment à retenir l’incrimination de traite des êtres humains, qui ne recoupe pas complètement celle d’association de malfaiteurs terroriste.
En attendant que l’État islamique soit poursuivi devant la Cour pénale internationale, la France devrait montrer aux yézidis qu’elle prend en compte leur massacre.