Madame Troendlé, madame Benbassa, j’avais eu l’occasion de vous rencontrer pour discuter de votre rapport et avais beaucoup apprécié les propositions qu’il contenait.
Vous expliquez que ces femmes sont parties en Syrie trompées par une sorte de mirage romantique, croyant trouver là-bas le mari idéal, qui, nous le savons toutes, n’existe pas…