Monsieur le sénateur, je vous remercie de votre question, qui recouvre de très nombreux sujets.
Vous avez d’abord évoqué le retour de Syrie et d’Irak de combattants que vous qualifiez de « repentis » parce qu’ils coopèrent d’eux-mêmes, ou du moins prétendent le vouloir.
Quelle que soit l’hypothèse de l’appréhension – capture ou reddition – de nos ressortissants après un séjour sur les territoires de combat au contact des organisations terroristes, le Gouvernement français a clairement fait le choix de ne pas mener de politique active de rapatriement.