Je formulerai une remarque et une question.
Ma question s’adresse tant à M. le secrétaire d’État qu’à M. Richard. Je vous ai écoutés attentivement tous deux. Vous nous dites que tout va bien, qu’il est inutile d’amender le texte, que la situation des départements est favorable. Monsieur Richard – dites-moi si je me trompe –, vous nous dites aussi que va s’engager un dialogue entre le Gouvernement et les départements, et vous évoquez une modération de la croissance des allocations.
Je souhaiterais que M. le secrétaire d’État et vous-même nous disiez maintenant, et pas dans quelques mois, ce que vous mettez derrière la modération de la croissance des allocations. Je le dis à la fois pour les départements et pour les allocataires. Nous aimerions connaître, si j’ose dire, la vérité des prix, …