Je termine, madame la présidente.
Une vraie réforme fiscale pour le progrès social, c’est l’efficacité économique, avec la baisse de la TVA, le renforcement de l’égalité des entreprises face à l’impôt sur les sociétés, le rejet de l’incitation aux placements spéculatifs ; c’est la justice sociale, avec un barème de l’impôt sur le revenu plus progressif ; c’est la recherche du progrès social par le recul de la fiscalité indirecte et la progression de l’impôt direct.
Mettons un terme à toutes ces mesures systématiques d’allégement, de dérogation et de traitement particulier, toujours au détriment des plus modestes de nos concitoyens, qui mettent ainsi en cause le principe d’égalité devant l’impôt !
Nous aurions voté contre ce nouveau budget d’austérité, validé au préalable, sans hésitation, par la Commission de Bruxelles, et nous rejetons catégoriquement la dérive ultralibérale proposée aujourd’hui par la droite.