En outre, il apparaît que le financement du budget n’est pas pérenne, quand il n’est pas, tout simplement, assuré à crédit.
Toutes ces raisons prouvent bien, s’il le fallait, que le travail sénatorial justifie la question préalable, puisque nos contre-propositions ne seraient pas reprises.
Il est temps de cesser de vivre au-dessus de nos moyens. Il est temps de prendre des mesures radicales et de dire la vérité à nos concitoyens. Ces mesures non financées conduisent à un comble dans ce projet de loi de finances : ce sont les enfants qui payent les cadeaux de Noël que se font les parents !