Je souhaiterais vous poser trois questions. La première concerne les cas d'incapacité de jeunes parents à s'occuper de leurs enfants autistes et de prise en charge directe par leurs grands-parents : y a-t-il un dispositif spécifique prévu pour ce genre de situation particulièrement complexe ?
Ensuite, plaçons-nous dans l'hypothèse où l'enfant autiste ne peut pas bénéficier d'une inclusion scolaire en raison de la lourdeur de son handicap. Quel établissement médico-social est en mesure de prendre le relai et comment s'organise l'inclusion de l'enfant dans un milieu médico-social où d'autres enfants sont déjà pris en charge ?
Enfin, pour revenir sur le sujet du traitement psychanalytique, a-t-on des preuves avérées du lien entre autisme et environnement familial ?