En conclusion de ces questions, il me paraissait important de formuler une remarque d'ordre général. J'ai l'impression que le mouvement s'est récemment inversé dans la prise en charge du handicap entre professionnels et bénévoles. Les premiers ont aujourd'hui le primat sur les seconds et c'est heureux, mais cela donne lieu à mon sens à deux phénomènes que la prégnance du bénévolat était parvenue à éviter : le saupoudrage des crédits et les guerres de chapelle entre différents professionnels de la prise en charge. Il nous faut prendre garde à ces deux écueils.