De nombreux établissements suivent des critères de notation extrêmement stricts et certains élèves peuvent être pénalisés par le contrôle continu, comme à l'occasion du brevet des collèges. Une telle réforme ne va-t-elle pas conduire à un changement des mentalités et porter un terme au culte de la notation drastique ? Je trouve également dommage que les options, comme les langues anciennes ou les activités artistiques, ne bénéficient plus des coefficients favorables qui ont permis leur maintien dans l'enseignement secondaire. Enfin, pourquoi ne pas avoir repris l'initiative de la reconquête du mois de juin qui mettait fin à la réquisition systématique des établissements scolaires comme lieux des examens ? Cette démarche permettait pourtant de continuer à travailler avec les élèves au cours de ce troisième trimestre particulièrement émietté.