Le chiffrage des impacts macroéconomiques a été fait avec professionnalisme et méthodologie. On ne peut pas prédire l'avenir mais on peut s'appuyer sur des événements comparables et sur des données statistiques relatives à la fréquentation ou au panier de dépenses des visiteurs étrangers. Nous nous sommes efforcés de ne compter que les dépenses et les visiteurs qui peuvent être estimés comme attribuables à l'événement.
L'étude d'impact avait été partagée avec les équipes du Trésor, à la demande d'Emmanuel Macron, qui était alors ministre de l'Économie et des Finances, en prévision d'une présentation qui a été faite à Bercy en octobre 2015 devant l'ensemble des partenaires. Les simulations des équipes du Trésor étaient d'ailleurs assez proches des nôtres. Comparés à ceux d'autres candidatures, comme celle d'Osaka, nos chiffres sont cohérents et les ordres de grandeur sont comparables.