Ces chiffres sont trop importants, et je ne veux pas que l’on s’y habitue. Ce n’est jamais le cas, bien sûr, mais lorsque ces mauvais chiffres se répètent, année après année, certains finissent par se dire que c’est la fatalité.
Or je ne crois pas à la fatalité. Je pense que nous pouvons réduire le nombre de morts et de blessés sur les routes en France. C’est l’objectif !