Il faut arrêter de reporter les décisions dans l’attente de textes de loi hypothétiques !
Aujourd’hui, les incertitudes sont nombreuses.
M. Masson a évoqué d’importantes sommes d’argent, mais je rappelle que, aujourd’hui, l’organisation des jeux Olympiques est assurée, à 97 %, par de l’argent privé. Il faut donc sécuriser ceux qui vont investir dans l’organisation des Jeux.
On ne peut pas demander à des partenaires privés de soutenir et de financer les jeux Olympiques sans les protéger par des garanties. C’est également vrai pour les diffuseurs.
Je maintiens donc mon amendement.