Le Gouvernement est favorable à l’adoption de l’amendement n° 113 rectifié, qui améliorera en effet largement la lisibilité du texte.
Quant à l’amendement n° 186 rectifié bis, il est déjà prévu que les candidats ultramarins soient considérés comme résidant dans l’académie où est dispensée la formation demandée lorsque celle-ci n’existe pas à proximité de leur territoire d’origine. Il me semble en effet important de pouvoir, dans ce cas, leur garantir la poursuite de leurs études. En revanche, lorsque la formation demandée existe près de chez eux, ils doivent évidemment être traités comme tous les autres bacheliers français. Je vous demande donc, madame Laborde, de bien vouloir retirer cet amendement, faute de quoi l’avis du Gouvernement sera défavorable.