J'ai pris conscience de vos difficultés, monsieur le délégué interministériel, à jouer le rôle de passerelle entre la ministre des sports et toutes les revendications des jeunes ultra-marins. Ma question est assez personnelle : vous avez dit être arrivé de la Guadeloupe en France à l'âge de six ans pour finalement « malheureusement » y rester. Pourquoi employer ce terme concernant votre parcours alors que vous avez très bien réussi votre carrière ? Pensez-vous que cette trajectoire soit douloureuse pour tous les jeunes ultra-marins ?