Je suis arrivé au mois d'octobre ; il faisait froid, ma famille était recomposée et la séparation subie avec mon territoire ! Je ne comprenais pas ce qui m'arrivait, d'où le terme « malheureusement ». Mais « heureusement », le sport m'a permis de réaliser un rêve. Aujourd'hui, je dis aux jeunes que, si l'on veut vraiment quelque chose, il faut s'en donner les moyens car on n'obtient rien sans travail.