Nous n'examinons pas une loi d'orientation mais d'affectation. Le système précédent était si compliqué pour les futurs étudiants que l'on ne pouvait pas rester dans nos querelles byzantines. Effectivement, même si la clé de voûte a été posée avant les piliers, il fallait légiférer. Ce projet de loi apporte quelques éléments de progrès.
Comme M. Berta, je pense que la sélection par l'échec est la plus injuste. Néanmoins, je ne partage pas son optimisme quant au ressenti positif des futurs bacheliers sur Parcoursup. Ce que j'ai recueilli dans cinq lycées de l'Oise où je me suis rendu est bien plus mitigé. Je partage les propos de Mme Darcos à ce sujet.