Quoi qu’il en soit, madame la sénatrice, même sans y goûter, on peut reconnaître la place particulière qu’occupe le vin dans la culture et dans l’imaginaire français, et l’attachement des Français à ce produit.
Vous nous dites que le Gouvernement, par la voix de Mme la ministre des solidarités et de la santé, serait engagé dans je ne sais quelle croisade contre le vin. Permettez-moi de vous dire que votre propos, que j’entends, que je respecte, m’apparaît outrancier.