M. Édouard Philippe, Premier ministre. Madame la sénatrice, ce que je vous propose, c’est de regarder le problème en face. Nous respectons la place particulière du vin dans la culture et dans l’agriculture françaises, mais nous n’allons pas, pour autant, faire semblant et prétendre qu’il n’existe pas de problème de santé publique. Il serait en effet profondément irresponsable de refuser de voir l’autre face de la pièce !