Le GIP dispose d'un budget tout à fait modeste. M. Pierre-Yves Bocquet, ancien conseiller de François Hollande, inspecteur général des affaires sociales, m'accompagne dans ce travail. Nous sommes pour l'instant hébergés au ministère des outre-mer. Évidemment, la fondation, pour pouvoir fonctionner, doit être dotée d'un capital et nous devons rechercher des mécènes. Une mutualisation est-elle possible avec la Cité des outre-mer pour les ressources documentaires, l'organisation d'événements ? Faut-il que la capitale se dote d'un mémorial ? Ces questions devront être tranchées par les autorités compétentes et il nous appartient de formuler des propositions. Nous en sommes donc à l'étape où le projet s'affine et la recherche de financements va démarrer.