Madame la sénatrice, vous avez raison de mentionner ces terribles réalités, heureusement marginales en France. Les discriminations liées aux différences, à la couleur de peau, sont en revanche des réalités qu'il nous faut combattre pour être en cohérence avec les valeurs de la République, fondée sur l'égalité entre les citoyens.
La fondation a aussi pour vocation de mobiliser les consciences pour lutter contre l'esclavage aujourd'hui. La France n'a pas la prétention de régler cette question, mais peut apporter sa contribution. C'est pourquoi j'ai mentionné les Nations unies, qui ont une connaissance précise de cette réalité à l'échelle mondiale.