Je me souviens que le groupe auquel vous apparteniez à l’époque, monsieur Collombat, avait fait de ce dispositif un cheval de bataille lors de la CMP, ce qui avait conduit à son maintien dans le texte final de la loi MAPTAM.
J’ai l’honneur de siéger au banc du Gouvernement depuis maintenant un peu plus de trois mois. Je crois que celles et ceux d’entre vous qui ont eu l’occasion d’échanger et de débattre avec moi savent le respect que j’ai pour chaque intervention et pour chaque parlementaire. C’est ce respect que je porte à chacun d’entre vous, mesdames, messieurs les sénateurs, qui m’interdit d’accepter que l’on convoque les morts.