Je voudrais redire que l’ouverture à la concurrence a été décidée, qu’elle est attendue par les régions et qu’il faut s’y préparer.
De plus, je ne peux pas laisser dire que les régions ou l’État voudraient, à cette occasion, réduire le service public.
Les régions ont la responsabilité d’organiser les TER. Si elles demandent l’ouverture à la concurrence, c’est pour offrir plus de service public et un meilleur service public aux voyageurs.
Enfin, je rappelle que, de son côté, l’État va engager un investissement de 3, 7 milliards d’euros pour renouveler les TET. C’est là un gage de la volonté de l’État de maintenir les trains d’équilibre du territoire.
Pour une raison de fond, l’avis est défavorable sur cet amendement.