Madame la secrétaire d’État, j’ai eu la délicatesse de dresser un bilan sur quinze ans…
Je suis très choqué par votre réponse, qui ne me rassure nullement. Vous ne parlez que des autoroutes ferroviaires, mais, pour qu’il y ait du monde sur ces autoroutes, il faut aussi penser au réseau capillaire, aux territoires : vous les oubliez !