Vous avez beaucoup insisté sur la façon de réévaluer la pauvreté et sur la relativité du revenu médian. La pauvreté peut être aussi ressentie ; il y a quelques années, deux personnes sur cinq s'estimaient être pauvres.
La pauvreté s'est davantage modifiée sur un plan qualitatif que quantitatif : les nouveaux pauvres sont des jeunes, et notamment des étudiants, des familles monoparentales, des personnes vivant dans des zones urbaines et des travailleurs pauvres. Le Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale a interrogé le ministère. Avez-vous des indicateurs précis sur le manque de logements et les financements qui seraient nécessaires ?