Monsieur le sénateur Gontard, si je n’adhère pas à la première partie de votre intervention, je souscris tout au moins à la deuxième.
Je forme le vœu que ce levier fantastique qu’est le budget de la politique agricole commune permette une mutation en profondeur de notre modèle agricole et, pour le dire de manière schématique, de passer d’une agriculture intensive en pesticides et à faible taux d’emplois…