Le président de l’université de Lille m’a dit son inquiétude face aux pratiques des bloqueurs, notamment sur le site de la faculté de droit, de sciences politiques et sociales, que je connais particulièrement bien pour y avoir enseigné jusqu’à mon élection au Sénat, et où des tensions ont eu lieu ces derniers temps.
Le doyen de cette faculté m’a tenue informée, car il sait à quel point je suis attachée à cette faculté.
Une note récente du renseignement territorial, dont vous avez certainement eu connaissance, indiquait : « Les blocages sont réalisés par une poignée de personnes qui n’ont, pour la plupart, aucun lien avec la sphère éducative. » Quelques milliers face à 2, 5 millions d’étudiants qui veulent travailler !