S’agissant de l’amendement n° 26 rectifié bis, je précise que le service militaire volontaire, un vrai dispositif d’insertion sociale et professionnelle, est ouvert à tous les jeunes Français qui ont leur résidence habituelle en métropole, mais que nous apprécions cette notion de résidence habituelle de manière souple, ce qui donne à chacun sa chance d’accéder au SMV.
La situation des jeunes Français établis hors de France a vocation à être traitée dans le cadre de la création d’un service national universel – qui, pour moi, n’aura pas du tout les mêmes objectifs que le service militaire volontaire.
Je le répète : il faut que les jeunes Français aient une résidence habituelle en métropole, mais nous appliquons une interprétation très souple de cette notion.
J’émets donc un avis défavorable sur l’amendement.