Je ferai un parallèle avec le programme Administration pénitentiaire, dont je suis le rapporteur pour avis.
Nous n’arrivons pas à fidéliser les surveillants pénitentiaires faute de logements. J’ai constaté la même chose pour les policiers lorsque j’étais rapporteur pour avis de la mission « Sécurités ».
Pour une fois que nous avons la capacité d’anticiper, parce que nous avons du patrimoine, il n’est pas idiot de penser que, dans les casernes, nous pourrions, plus tard, loger aussi nos militaires.
Je pense, bien évidemment, qu’il faut suivre l’avis de la commission.