Monsieur le président, monsieur le rapporteur, madame la ministre, madame la secrétaire d’État, le porte-avions Charles-de-Gaulle est bien entendu un atout pour la France. Il subit cependant régulièrement des révisions techniques et n’est pas opérationnel toute l’année.
Pour maintenir les capacités d’intervention aéronavale de la France sur les océans, cet amendement tend à prévoir la possibilité d’engager des études pour le renouvellement, non pas d’un, mais de plusieurs porte-avions. Je relaie ici une proposition de mes collègues députés Olivier Becht et Jean-Christophe Lagarde.