Monsieur le ministre d’État, il faut savoir que, sans agropastoralisme, les orchidées et les plantes rares disparaissent. Nous sommes tous très soucieux de la biodiversité sur notre planète. José Bové, qui connaît bien mon territoire, dit la même chose que nous ! Il faut vraiment prendre ce sujet au sérieux.
Nous sommes des praticiens de terrain. Je plaignais presque le commissaire européen à l’environnement lorsqu’il a formulé ses propositions ridicules de portail électrique. Nos territoires comptent cinq habitants au kilomètre carré ; dans le Sahel, il y en a dix…
Allons sur le terrain et examinons ce que l’on peut faire ! Je pense que des mesures de bon sens pourraient être prises avec votre collaboration, monsieur le ministre d’État.