On peut imaginer un diplôme qui validerait trois niveaux. Les producteurs cueilleurs seraient soumis à des critères d'analyse et de contrôle, afin d'éviter des situations à l'issue tragique, comme lorsqu'on confond des carottes sauvages avec de la ciguë. Les herboristes trouveraient leur place aux côtés des pharmaciens car les deux mondes ne s'opposent pas - je l'ai constaté, il y a deux ans au congrès des herboristes. Un herboriste devrait pouvoir accéder au comptoir d'une officine. Enfin, le pharmacien-herboriste aurait accès à l'intégralité des plantes.