Dans l’académie de Créteil – vous le savez, elle m’est très chère –, avec APB, un jeune sur cinq obtenait une proposition à Paris. Avec Parcoursup, c’est le cas d’un inscrit sur trois.
Il y a donc réellement un progrès, et l’on ne peut pas, comme la presse le fait trop souvent, faire d’un témoignage sur un cas une généralité.