J’aime savoir ce que font mes interlocuteurs…
Pour ma part, je suis tout à fait libre : mon seul engagement, sur ce sujet, est d’avoir inlassablement combattu la loi NOTRe et les textes qui l’ont précédée.
Ainsi, comme j’ai pu le dire en commission, alléché par le titre de la présente proposition de loi, j’aurais souhaité un traitement de la loi NOTRe autre que les soins palliatifs qui nous sont proposés. §Certes, ces soins sont utiles, en ce qu’ils rendent plus supportables les effets de ladite loi sur les collectivités et leurs élus, mais ils ne font que retarder l’heure où l’on réalisera pleinement ce que cette loi a de mortifère et où l’on prendra conscience qu’il faut purement et simplement la supprimer.