Monsieur le ministre, l’argument que vous nous apportez me paraît vraiment sujet à caution.
En effet, certains concitoyens ont été indemnisés, soit. Mais beaucoup d’entre eux ont reçu une indemnisation trop minime par rapport aux frais à engager et n’ont pas pu utiliser les sommes parce qu’elles n’étaient pas à la mesure du préjudice subi.