Son vote permet d’ouvrir un débat. Et il faut que nous ayons ce débat – ce n’est plus possible !
La question se pose de savoir comment on finance cette proposition de loi ; sinon, c’est une coquille vide – Martial Bourquin l’a dit avec ses propres mots : ce texte deviendrait une pétition de principe.
Au fond, l’objet de notre débat, le cœur de notre discussion, ce sont les GAFAM !