Voilà encore un amendement qui n’a pas de coût pour les finances publiques.
Je propose que les fonds d’investissement de proximité puissent exercer leurs activités dans des établissements situés dans quatre régions, comme c’était le cas précédemment, au lieu de trois, comme cela vient d’être décidé.
Il s’agit, d’abord, de ne pas remettre en cause les engagements pris au cours de l’année, ensuite et surtout, de faire en sorte que toute la France soit couverte. En effet, si on limite à trois le nombre de régions visées par un fonds d’investissement de proximité, on risque fort de voir l’Île-de-France occuper une place franchement disproportionnée.