Je me permets d’insister : si vous ramenez le nombre de régions à trois, vous concentrez nécessairement l’activité des fonds d’investissement de proximité sur la région parisienne ; au contraire, en maintenant ce nombre à quatre, ainsi que je le propose, vous rendez possible la couverture de l’ensemble de la France.
Qui plus est, je le répète, cette disposition ne coûte rien au budget de l’État.
Par conséquent, monsieur le président, je maintiens cet amendement.