Madame la secrétaire d’État, je ne doute absolument pas de votre bonne volonté et de votre bonne foi. J’ai des échos très favorables sur votre action et je puis vous assurer de notre soutien pour mener à bien cette réforme.
Ce que craignent les associations de familles, c’est un traitement global du sujet. Vous avez parlé de prendre le temps ; je peux vous dire que c’est important pour ces familles de savoir que vous aurez le temps de regarder au cas par cas. Je suis sûre qu’en effet il y a des meilleurs modes de fonctionnement à trouver pour certains.
Je vous invite d’ores et déjà à l’institut médico-éducatif de Saint-Germain-lès-Arpajon, chez moi, en Essonne. Les équipes y font un travail remarquable ; il n’est qu’à voir le sourire de ces enfants handicapés, qui sont tellement bien dans cet établissement. Ce n’est qu’un exemple, mais il peut – pourquoi pas ? – vous éclairer dans la mise en œuvre de cette réforme.