Pour ma part, je n’ai jamais utilisé les termes de submersion, de raz de marée ou de je ne sais quoi. Je suis bien conscient que l’on parle d’êtres humains.
Reste qu’il y a le droit, il y a la loi et il y a la politique qui est souhaitée par les États.
Pour ma part, comme vous sans doute, je suis allé voir des campements de migrants dans Paris. Eh bien, j’aimerais bien savoir en quoi ils sont traités comme des êtres humains dans ces lieux ! En la matière, les choses doivent être dites ; c’est ce que le rapporteur a fait.
Selon vous, il suffit que l’Europe se décide à lutter contre les passeurs.