Je vous remercie, monsieur Bonnecarrère, de l’expression de votre soutien à l’action du Gouvernement et à notre volonté de refondation européenne. Je partage la gravité de votre analyse. L’Europe est mise au défi. Je dirais que les démocrates et les progressistes sont mis au défi de ne pas laisser le destin de l’Europe non pas à des hommes forts, mais à ceux qui parlent fort sans rien construire ni rien résoudre. Notre vision ne sera certainement pas de diminuer notre ambition, mais au contraire de porter encore plus haut nos valeurs.