Le niveau de prélèvements publics baisse de façon régulière en France depuis les années 2000 au profit des catégories les plus aisées de la population ; les déficits publics auraient pu être évités si l'on avait maintenu le niveau des prélèvements.
La remise en question des impôts est difficilement entendable, sauf à considérer que l'impôt est illégitime pour les plus riches.