La présence excessive d'acides gras trans dans l'alimentation constitue un enjeu de santé publique majeur. Avant d'envisager une limitation dans la restauration collective publique dès 2019 puis une interdiction totale en 2020, il conviendrait de disposer d'une étude d'impact qui en mesure à la fois l'opportunité, mais aussi la faisabilité technique et financière, tant pour les industriels que pour les acheteurs publics. Retrait de l'amendement n° 301, à défaut avis défavorable.