… pour s’exonérer du droit commun, rester entre personnes publiques et se faire conseiller par la Caisse des dépôts et consignations ? Est-ce là vraiment une bonne façon d’appliquer le droit fiscal ?
Parce que l’on réalise une opération entre personnes publiques, on devrait être exonéré de la fiscalité ? On devrait faire voter au Parlement, dans la loi de finances rectificative, une disposition dûment préparée, sous l’égide de la Caisse des dépôts et consignations ? Celle-ci pourrait d’ailleurs être renommée « Caisse des dépôts et des rectifications »…