C’est pourtant ce qui peut se passer, monsieur le rapporteur général.
Vaut-il mieux permettre aux étudiants des départements dont nous sommes les élus d’étudier dans de bonnes conditions, sur des campus de qualité, ou laisser des bâtiments désaffectés, comme ceux de l’armée, se dégrader parce qu’ils ne sont plus utilisés depuis des années ? Croyez-moi, nous préférons tous le premier terme de l’alternative !
C’est la raison pour laquelle je ne vous suivrai pas, monsieur le rapporteur général.