Encore une demande de rapport, donc encore un avis défavorable…
À vrai dire, le suivi de ce sujet mérite peut-être que l’on aille plus loin que la rédaction d’un simple rapport. De fait, la suppression des quotas betteraviers au 1er octobre dernier entraîne une sorte de tremblement de terre dans le secteur de la betterave.
Cette situation nécessite un suivi très particulier de la part des différents acteurs et du Gouvernement, à l’instar de ce qui a été fait après la suppression des quotas laitiers : tous les acteurs s’étaient mobilisés pour essayer de trouver des solutions de remplacement, ce qui avait débouché sur l’inscription de la contractualisation dans la loi.
Pour la betterave aussi des solutions vont devoir être trouvées. Je sais que, pour le moment, les acteurs ont un peu de mal à se mettre d’accord. Le Parlement devra être informé des démarches menées par ceux-ci et par le ministre de l’agriculture.
Ce que je propose là me paraît plus puissant que la rédaction d’un rapport, qui pourrait être publié un peu tard ou tomber dans les oubliettes…