Cette formation aux nouvelles pratiques alimentaires doit se faire dès le plus jeune âge, dans les écoles. C’est donc la restauration collective scolaire qui est susceptible d’apprendre aux enfants à avoir des pratiques alimentaires saines, à manger des produits de saison, et à être moins dépendants d’un certain nombre d’aliments entraînant l’obésité, le diabète, la tension artérielle et d’autres pathologies que chacun connaît.
Notre objectif est de soigner autant notre capital santé, individuel, que notre capital collectif, c’est-à-dire notre environnement.
Même si l’amendement de Mme Loisier ne va pas aussi loin que l’on pourrait le souhaiter, car il tend à restreindre un certain nombre de champs, notamment sur la question des régions ultrapériphériques, je me rends à l’évidence : il y a une unanimité sur ces travées. Or nous avons besoin d’envoyer des signes politiques importants, qui sont attendus par nos concitoyens.
J’émets donc un avis de sagesse sur l’amendement n° 771 rectifié, …