Merci beaucoup, Monsieur Weiten. Si nos échanges ont pu parfois atteindre un degré quasi paroxystique, ils ont au moins eu la vertu de crever l'abcès. Chacun est dans sa logique, sans que son honnêteté intellectuelle puisse être remise en cause. Les crispations sont telles qu'il est bien difficile, à un moment ou à un autre, de ne pas s'emporter. C'est un bras de fer qui est engagé, mais des pistes existent pour sortir de cette situation. Ni Dominique Bussereau, que je connais bien, ni le Premier ministre ne sont des jusqu'au-boutistes. Le bon sens devrait l'emporter. Alain Richard s'est beaucoup impliqué avec Dominique Bur sur toutes ces questions : il a ouvert un certain nombre de perspectives, d'où la passion avec laquelle il s'est exprimé. De la passion, il en faut aussi pour faire bouger les lignes.
J'ai beaucoup apprécié nos échanges de ce matin, preuve du dynamisme de notre délégation. Merci encore à Patrick Weiten et à vous tous, mes chers collègues.