...puisqu'il devrait permettre de concilier l'inconciliable : financer les baisses d'impôts, réduire le déficit, diminuer la dette, équilibrer les finances publiques en 2010, ne rien sacrifier des promesses du chef de l'État pour la recherche et l'université !
Malheureusement, et vous l'avez rappelé, monsieur le rapporteur général, la remontée des taux d'intérêt renchérit la charge de la dette.